Victor del Arbol revient pour la troisième fois dans l'établissement. Les enseignants le sollicitent régulièrement pour la qualité de son contact avec le public lycéen.  

Issu d’une famille de combattants (luchadores), il aime écrire manuellement car cela lui rappelle la belle calligraphie de son père. Il se sert de dictionnaires, car bien qu’écrivain, il ne connaît pas tous les mots et aime souligner les mots inconnus qu’il découvre.

Il écrit ses trois premiers romans à 40 ans alors qu'il exerçait le métier de policier. Lorsqu’il a arrêté la profession, il lui a fallu assumer un risque, devenir écrivain. Le défi était de gagner sa vie, maintenir sa famille. La première personne à avoir lu ses livres a été sa femme, puis son éditeur et ses amis proches avant la publication. 

Les nombreuses questions des élèves ont permis de mieux appréhender son travail d'écrivain. Parmi celles-ci : 

• ¿Con qué objetivo escribes tus libros?
• ¿Cuál es el mensaje que quieres transmitir a través de ellos?
• ¿Por qué escribes tantas historias trágicas? 
• ¿Qué te inspira a la hora de escribir? ¿Tu pasado como policía?
• ¿Crees que tus libros aportan algo a la sociedad? Si es así, ¿qué?
• ¿Tienes referentes en la literatura? ¿Hay algún autor que te haya inspirado?
• ¿Cuándo surgió tu deseo de ser escritor y qué te permitió hacerlo realidad?
• ¿Por qué siempre haces referencia al pasado de los personajes en tus libros?
• Tus obras suelen tratar temas como asesinatos, pérdidas de seres queridos y traumas del pasado, ¿por qué?
• ¿Por qué todas tus historias tienen un tono tan triste, hablando de diversos temas pero desde una perspectiva oscura?

Un livre peut changer la vie. Les livres représentent un danger dans la mesure où ils nous incitent à penser. 

Albert Camus est un auteur qui l’a beaucoup marqué, notamment son roman “L’étranger”. 

Tout ce qu’il écrit s’est réellement passé, ses personnages sont réels. 

Pour lui, se posent deux questions essentielles dans l’acte d’écriture : "Dans quel but ?" et "Selon quelle motivation" ?

Tout ce que nous sommes aujourd'hui provient de ce qui nous est arrivé dans le passé. En chacun de nous il y a une histoire et la plus intéressante est celle qui vient de nos racines.

Un conseil précieux de Victor del Arbol : Si algo te gusta de manera natural, es un don y hay que trabajarlo. (Si quelque chose te plaît naturellement, c'est un don, il faut le travailler).

Ce compte-rendu a été réalisé par Najwa Amani Haikouma, 1GT1. 

Ci-dessous les photos de la rencontre...

et les dédicaces de ses livres pour le Lycée Victor Hugo.

Merci Victor del Arbol !